samedi 3 novembre 2007

Nos bibittes à poil




Les voici, les voilà...


Jazz, notre chat gris, est fou comme un balai, Chablis, notre chat blanc parsemé de taches orangées est bizarre autant qu'étrange et enfin Cinnamon, notre chienne bien-aimée, les endure...


Notre petite vie ne serait pas aussi remplie de bonheur sans nos poilus.


Voilà pourquoi l'amour des animaux est plus fort que nos limites humaines...




7 commentaires:

Anonyme a dit...

Superbes vos chats! Mais un chat laid (un chalet ?), ça n'existe pas. Et c'est vrai qu'on s'attache à nos bibittes. Mon gros chat marche sur le clavier quand j'écris, a déjà assassiné un poisson rouge, a marché dans du goudron frais(une heure, et une demi-livre de beurre, pour lui enlever cette saloperie !), en plus de me réveiller à 5 h. tous les matins pour avoir à manger. Mais je l'aime quand même. J'aime aussi les chiens mais ils demandent TELLEMENT d'attention !

crocomickey a dit...

J'intitulerais la dernière photo :

Piteux Pitou ...

:-)

Rosette ou Rosie, c'est pareil a dit...

En effet, elle a l'air une peu piteuse, mais la photo a été prise avant que je la mette au régime... Maintenant, elle dégage un peu plus de bonheur, même si elle ne mange plus de restes de table... PÔVRE PETITE(?) Cinnamon...

Rosette ou Rosie, c'est pareil a dit...

@ Lise :
Ton chat semble avoir la même personnalité que mes deux salopards... Tu as bien raison, cependant : on s'y attache tellement !
Oui, les canins demandent beaucoup d'attention, mais ce sont des bêtes très loyales... Plus loyales que certains êtres humains que je fréquente... Dommage, pas vrai ? :-(

Anonyme a dit...

Habituellement mon chat est un gros pépère plutôt tranquille. l'histoire du goudron sur les pattes est ma faute. Je le laisse sortir sur le balcon, mais cette fois-là il s'était faufilé dehors par la porte arrière, et je n'ai pas eu le temps de le rattraper avant que ses deux pattes avant ne touchent du goudron récent, que la chaleur et le soleil avaient liquéfié.

J'en ai eu pour une heure à enlever cette purée noire, avec du beurre (solution trouvée sur internet, c'était un dimanche...), et en terminant j'étais au bord de la crise de nerfs. Mon chat, si doux et affectueux de nature, s'était mué en un monstre grondant et crachant, qui n'était plus que crocs et griffes ! Et, comme il est costaud et musclé, j'avais de plus en plus de mal à le maintenir.

Il aime jouer à la cachette et au ping-pong (je fais rebondir une balle en mousse, qu'il me renvoie d'un coup de patte très sûr), et faire la chasse aux reflets.

Là je m'amuse, mais il n'y a qu'à une passionnée des bibittes, que c'est possible de raconter ça. Un matin avant de partir, alors que je parlais à mon chat, j'ai aurpris (dans l'oeil de la porte) mon voisin d'en haut, arrêté sur le palier, qui écoutait avec un sourire amusé, ce qui m'a aussitôt coupé le sifflet. Il devait se dire que j'étais folle à lier. Pas grave !

Désolée pour la longueur de ce commentaire inepte, ça n'arrivera plus. Et j'ai bien aimé ton histoire de renard (tu sais où je l'ai lue), très drôle !!!

Anonyme a dit...

Faute de frappe, Surpris voulais-je dire. Et ton renard était un coyote (my mistake), ce qui n'est pas du tout la même chose.

Rosette ou Rosie, c'est pareil a dit...

Ne présente surtout pas d'excuses pour la longueur de tes commentaires, Lise ! J'adore te lire et ta plume est tellement belle ! :-)
Oh, tu sais, un renard ou un coyote... TOUT animal à quatre pattes me suit... Ton chat semble être doté d'une personnalité tout à fait inusitée ! :-)))