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jeudi 27 mai 2010

Un ÉNORME merci de la part de Geneviève

Comme on ne lit pas toujours les commentaires laissés sur les blogues, faute de temps, ou que certains d'entre eux passent souvent inaperçus, j'ai cru bon de copier le message que fifille a laissé à la suite de mon billet précédent, en vue de vous remercier tous et toutes pour vos voeux si chaleureux.

Le voici :

«Bonjour à tous!! J'aimerai premièrement exprimer mon amour pour mes parents qui ont toujours été à mes côtés (et le seront toujours) et qui m'ont toujours fait confiance, qui m'ont supportée et qui m'ont rassurée lors de tous mes essais et aventures! Je vous aime tellement et cela ne changera jamais!

Pour les autres: je vous remercie pour toutes vos belles paroles et mots d'encouragement! Vous ne me connaissez même pas, mais vos voeux et félicitations sont tellement sincères! Merci beaucoup!

Ma mère a des amis virtuels qui sont vraiment supers! :D♥ »

Et la mère tient également à vous remercier du fond du coeur et à seconder sa fifille quant à la dernière phrase de son message!

Vous m'êtes si précieuses, mes douceurs virtuelles, et vos paroles ensoleillent toutes mes journées!

Quelques photos prises au cours du petit souper que j'ai confectionné en l'honneur des 21 ans de notre Cocotte adorée...



La petite famille (sans nos bibittes à poil)


Avec Dan

Et encore avec Dan! ;)

samedi 12 septembre 2009

Je vous offre ces fleurs

Compte tenu des nombreuses averses qui ont versé leurs larmes sur notre saison estivale, les fleurs de notre jardin ne se sont pas épanouies aussi bien que les années précédentes.

Cependant, elles étaient rayonnantes de santé au chalet qui se trouve un peu plus au Nord de l'Ontario et en songeant à vous tous et au soutien incroyable que vous m'avez apporté, je les ai prises en photo pour vous les offrir, dans ma maison virtuelle, avec tout mon amour et mon immense gratitude.

Les voici donc, sans ordre précis (ni pour les noms, ni pour les fleurs) pour Lise, Zoreilles, Mary-Lou, Marguerite, Monique, Claire, France, Caboche, Crocomickey, Marc, Ken, Michel, Barbe blanche et certains "Anonymes"... Pour vous dire combien votre amitié m'est précieuse... Et pour Tom et Geneviève (alias Genilou)... Mes raisons de vivre, les prétexte de mon existence et les semeurs de mon bonheur. Et, bien entendu, pour Cinnamon, Jazz et Chablis, mes meilleurs amis à quatre pattes qui m'ont apporté tant de soulagement en m'offrant leur amour inconditionnel.




















Il y en a d'autres, pour vous tous, mais je les afficherai un autre jour, puisque je ne veux surtout pas vous ennuyer avec toutes ces photos...

Il faut cliquer pour mieux en voir tous les détails.

Comme le chantait si bien Pauline : Ce soir, j'ai l'âme à la tendresse...

dimanche 15 février 2009

Un secret bien gardé


Elle se porte mieux et son petit coeur guérit peu à peu. En fait, ma Genilou en a confié la garde à un grand philosophe félin...

Blague à part, j'espère que vous avez bien célébré le jour de la Saint-Valentin avec ceux et celles que vous aimez. Et si je suis un peu silencieuse ces jours-ci, vous m'en voyez désolée et je vous présente toutes mes excuses... Mais comme le dit si bien Jean-Pierre : (j'ai modifié le genre... )
Maman, maman, maman
Ta fille passe un mauvais moment
Y'a d'la brume dans ma galaxie...

Enfin, tout finit toujours par s'arranger et je prends mon mal en patience.

Je vous offre ces quelques lignes sur l'amour :

À mon humble avis, l'amour véritable ne fixe pas de frontières et ne s'attache pas à un seul être. La force d'amour nous vient du principe de vie, et elle tend à se multipler et à féconder toutes choses. Par conséquent, l'amour agit en nous de manière idéale quand nous lui permettons de prendre racine et de se multiplier. Tout comme le soleil levant chasse la grisaille du petit matin, l'amour que nous libérons embellit notre quotidien et nous revient en force. Qurle que soit la réaction des personnes à qui nous donnons notre amour, celui-ci nous reviendra si nous le laissons rayonner. Je me concentre donc sur cet état d'amour en moi et j'en fais don à mon entourage.

Voilà... C'était ce que je voulais vous dire au lendemain de cette fête d'amour. :-)

lundi 18 août 2008

20 ans déjà !...

Oui, je sais, j’aurais dû trouver quelques minutes pour écrire ces quelques lignes mercredi dernier, mais entre les cours de danse que nous suivons, ceux que nous donnons, notre entreprise de traduction et surtout, surtout, surtout, notre fille miraculeuse et tous les nombreux projets qu’elle caresse, je n’ai malheureusement pas trouvé le temps…

Mais, voilà : mieux vaut tard que jamais…


We have gone through some lows, but the highs were incredible;
We are still catching the rainbows we have chased throughout the years;
And are walking very tall while facing what has to be faced.

We have shed some tears and had our share of grief
But, we’ve also had so many laughs and so much fun
That lingers on and on
And will never go to waste.

Most of all, we have created a miracle
A beautiful daughter that we love so dearly
And our little family is now dancing
Through the many paths of love, happiness and life.

Love is not as simple
As candlelight and roses
Love is day-to-day living
Taking time, making time to be there
With open arms and a giving heart
Love is the special life we share.

Happy Anniversary to the man who has been holding my hand for the past 20 years.

I hope you read my blog once in a while…


Que voulez-vous ? J’ai épousé un Amerloque ! Nous avons tous une croix à porter, non ? (hi, hi, hi!)

vendredi 25 juillet 2008

Bonne fête, papa! (25 juillet 1915 – 27 avril 1993)

Paul-Émile (circa 1945)


Déjà 15 ans que tu nous as quittés, mon tit-pops adoré, et j’ai l’impression de t’avoir dit « au revoir » pas plus tard qu’hier.

Parce que vois-tu, papa, tu es TOUJOURS à mes côtés. Tu vis dans mon cœur, dans celui de Geneviève, ta petite-fille que tu faisais bondir sur tes genoux et à qui tu chantais de ta belle voix de baryton des berceuses et des balades québécoises d’antan, et dans celui de ton gendre avec lequel tu partageais de bonnes rasades de cognac ou de scotch bien tassé.

Tu m’as légué l’amour des mots, de la musique, du théâtre et de la photographie. Quand j’écris, je pense à toi ; quand je chante ou quand je pianote, je pense à toi ; quand j’assiste à une pièce de théâtre (parce que malheureusement, je ne « joue » plus), je pense à toi ; et quand je saisis ces moments de bonheur ou ces merveilles de la nature dans l’objectif de mon appareil-photo, je pense à toi.

Tu m’as appris la tolérance et la patience. Tu m’avais même fait cadeau du livre « Les prodigieuses victoires de la psychologie moderne » de Pierre Daco lors de mes 16 ans pour m’aider à comprendre les comportements de maman sans la juger. Tu te souviens ? Ni toi ni moi ne comprenions, mais aujourd’hui, tout s’éclaire et le mystère est résolu, mais ça, c’est une toute autre histoire que je reprendrai plus tard.

Tu m’as TOUJOURS encouragée dans TOUT ce que j’ai entrepris et dans tout ce que j’entreprends encore. Lorsque je m’embarque dans de nouvelles aventures, j’entends tes paroles rassurantes au plus profond de mon âme… J’entends : « Vas-y, ma Rosette ! Ne lâche pas ! L’avenir appartient à ceux qui n’ont pas froid aux yeux ! ».

Je t’ai toujours fait confiance et jamais tu ne m’as trahie, Je pouvais et peux encore tout te raconter sans crainte d’être jugée et avec l’assurance d’être consolée ou conseillée, selon le cas. Quand j’ai une décision importante à prendre, je te demande de m’aider et tu viens toujours à mon secours. Eh oui, même après 15 ans !

Je t’aime papa et je t’aimerai toujours. Je te remercie de m’avoir guidée dans cette vie parfois tumultueuse et de m’avoir transmis ton merveilleux sens de l’humour sans lequel cette existence serait plutôt monotone. Tu es un père formidable et je ne peux qu’espérer être une aussi bonne maman pour Geneviève.

Il y a tant de choses que j’aimerais écrire à ton sujet, mon violoniste si talentueux, mon architecte incomparable, mon père bien-aimé qui m’a pardonné toutes mes frasques (et nombreuses fut-elles) en riant de bon cœur et en m’affirmant que la vie est trop courte pour garder rancune, mais la liste de tes innombrables qualités est beaucoup trop longue pour ce petit blogue…


Je termine donc cet hommage en citant l’adage suivant : « Il est nulle douleur que le temps n’apaise. » Auteur inconnu et très certainement décédé. Dommage, car j’aurais bien aimé lui demander : « Combien de temps ? »

mardi 29 avril 2008

Sniff...

Aucun commentaire n'a été laissé sur le clip des baby-boomers ci-dessous... Ciel de cornemuse : mes lecteurs me laisseraient-ils tomber ??????

jeudi 6 décembre 2007

RIP Aaron Gibbons - July 22, 1989 - November 21, 2007






Le mercredi 21 novembre dernier, Aaron, jeune homme âgé de 18 ans, étudiant en musique à York University avec bourse complète, ayant fini sa 12 année à l'école secondaire Christ The King (Georgetown) avec une moyenne de 98 %, s'est enlevé la vie en se jetant devant le métro, à la station Union du centre-ville de Toronto.


Il laisse dans le deuil Gabriele, sa mère, Bob, son père, Miles, son frère de 20 ans, Alyssa, sa soeur de 11 ans, un nombre incalculable d'ami(e)s ainsi que toute notre petite communauté.


À la suite de la crémation, le service a eu lieu samedi dernier de 10 h à 11 h 30 et comptait plus de 350 personnes.


Voilà la raison de mon silence et vous m'en voyez réellement désolée... Cependant, j'ai de la difficulté à composer avec cette tragédie et ma plume doit prendre encore quelque jours de repos.


Les photos sont d'Aaron, bébé et d'Aaron, le jour du bal des finissants en mai dernier.




Geneviève se trouve sur la photo et Aaron est derrière elle, en diagonale.
Je vous suggère également dÉcouter la chanson Vincent de Don McLean qui a été interprétée au cours du service ou d'aller en lire les paroles au http://www.lyrics007.com/Don%20McLean%20Lyrics/Vincent%20Lyrics.html
Cette chanson a été écrite pour Vincent van Gogh qui s'est également enlevé la vie, mais à l'âge de 37 ans.
Vous trouverez ci-dessous un des nombreux poèmes qui ont été écrits et lus au cours de la cérémonie. Je dois respecter le fait que l'auteure veuille conserver l'anonymat.




A cold kiss,
On an angel's lips,
A talent lost,
When fate's hand slips.
A sad end,
For a beautiful life,
A lost soul,
Who'd met his strife.
All his admirers,
Left to mourn,
A fallen angel,
A memory born.

(Anonymous)

Rest in Peace Poor, Tormented Aaron. May you play your piano for all the angels in Heaven.