lundi 29 septembre 2008
Jazz, façon latine...
Par conséquent et surtout, pour vous offrir une évasion de quelques minutes, je vous présente Basia.
Si vous ne la connaissez pas, ce clip vaut vraiment la peine d'être vu et entendu.
La voix de Basia est tout à fait exceptionnelle. À mon humble avis, il y a deux types de chanteuses de jazz : celles qui se servent juste de la mélodie pour y appuyer des chansons et les vocalistes qui savent si bien jouer de leur voix et de la musique plus que des mots... Basia fait partie de cette classe de vocalistes.
Née en Pologne en 1954, Basia Trzetrzelewska écrit et produit ses propres chansons. Elle est également reconnue pour ses harmonies à plusieurs couches.
Un régal pour les yeux et les oreilles, mes amis... Du vrai bonbon, quoi ! Vous m'en donnerez des nouvelles ! :D
vendredi 26 septembre 2008
Préoccupations...
Politique, campagnes électorales, crise économique aux États-Unis et autres nouvelles sensationnelles qui font les manchettes les plus récentes me laissent totalement indifférente ces temps-ci…
C’est fou, hein ? Vous me connaissez bien, mes chères âmes virtuelles, moi, la sensible, la tendre, la douce… Eh bien, j’en ai marre… Marre, marre et re-marre de n’entendre parler que de Harper ou de Dion, d’Obama ou de McCain, de promesses électorales qui ne seront jamais respectées et ce, peu importe le parti qui sera au pouvoir, d’instituts financiers qui déclarent faillite, de guerres qui n’ont aucun sens, etc., etc., etc.
La sensible, la tendre, la douce devient radine avec ses sentiments et ne se préoccupe que de sa famille, de ses animaux et de ses ami(e)s réelles ou virtuelles… Vous vous demandez sans doute pourquoi et je n’ai malheureusement pas de réponse.
J’en ai ras-le-bol, voilà tout...
Pour changer le mal de place comme on dit, je vous offre ce clip. Il commence lentement, mais soyez patient(e)s et attendez que les danseurs apparaissent sur scène. Ils sont imbattables, ne croyez-vous pas ? Et que dire de Phyllis ? Quel talent et quelle beauté ! Bien qu’elle se soit enlevée la vie en 1995, on ne peut pas se permettre de l’oublier… Bon visionnement donc et oublions la politicaillerie pendant quelques minutes... ;)
vendredi 12 septembre 2008
La rentrée
Ces jeunes demoiselles ont déjà entamé leur deuxième année universitaire. Cependant, aucune d’entre elles ne suit ses études dans le même établissement et elles seront très éloignées l’une de l’autre. Elles se sont donc réunies au cours de la fin de semaine de la Fête du travail et ces photos démontrent clairement que l’amitié ne connaît pas la distance. Elles ont le courage de tous les destins… Qu’elles sont belles en pleine lumière du bonheur et du succès ! :-)
jeudi 11 septembre 2008
La mort dans l’âme…
Me lève ce matin et prends mon petit déjeuner avec ma puce qui doit braver le trafic de la 401 pour se rendre à l’université et assister à un cours de socio qui commence à 8 h… Ronchonne et bougonne, elle ne semble vraiment pas dans son assiette… Elle mâchonne ses rôties du bout des lèvres, avale son jus à toute vitesse, ouvre la porte pour se rendre à sa voiture et revient aussitôt à la maison… « Me faut un manteau !» clame-t-elle. Je me pointe le bout du nez dehors et bordel, IL FAIT HUIT DEGRÉS CELCIUS ! Faut se rendre à l’évidence : l’été qu’on n’a pas eu est bel et bien fini. Eh misère ! Peut-être aurais-je du suivre l’exemple de mon amerloque… Devant tant d’émotions, il est retourné au lit. Tiens toé !
Cette photo un peu délavée me fait penser à West Side Story… Je l’affiche ici pour me rappeler qu’il y a eu quelques jours de beau temps (si peu !) et que ma fifille (au centre) est presque toujours de bonne humeur ! :-)
vendredi 5 septembre 2008
Bzzzzz, bzzzzz…. Pique, pique… Ayoye, bordel !
De plus, je ne les aime pas, mais alors là, pas du tout. Oui, je sais, elles sont I-N-D-I-S-P-E-N-S-A-B-L-E-S aux miracles que fait Dame Nature, mais je pourrais facilement m’en passer.
Cependant, personne ne peut m’accuser d’avoir froid aux yeux… Bien au contraire, mon entourage immédiat me trouve un peu trop intrépide à son goût, mais que voulez-vous ? On n’apprend pas à un vieux singe comment faire de nouvelles grimaces, pas vrai ?
De plus, je ne savais pas que je pouvais courir si rapidement et dès que la photo a été prise, j’ai pris mes jambes à mon cou et me suis retrouvée dans la maison, saine et sauve, mais totalement détrempée… Pourtant, cette photo valait bien une bonne dose de sueurs froides, ne croyez-vous pas ?