Quand l’hiver semble vouloir s’éterniser, quand le ciel nous tombe sur la tête, quand les politiciens passent leur temps à nous faire des promesses qu’ils ne tiendront fort probablement pas, quand les guerres éclatent un peu partout dans le monde, quand les hommes sont occupés à s’entretuer et à détruire leur propre planète, j’admire cette belle jeunesse et d’un coup, j’oublie tous les malheurs, petits et gros, et je me perds dans ces merveilleux sourires qui me font retrouver le mien.
Puissent ces amitiés des plus profondes perdurer et transcender toutes les embûches qui peuvent se trouver sur les chemins de la vie !
Puissent ces amitiés des plus profondes perdurer et transcender toutes les embûches qui peuvent se trouver sur les chemins de la vie !
Ces magnifiques demoiselles ne vous donnent-elles pas envie d’entretenir votre goût pour la spontanéité et la jeunesse ? Moi, si, tout simplement…
De haut en bas et de gauche à droite :
Christina et Geneviève – Bal des finissant(e)s – Mai 2007
Émilie et Geneviève– Toujours ce même bal
Christina et Geneviève – Bal des finissant(e)s – Mai 2007
Émilie et Geneviève– Toujours ce même bal
Catherine et Geneviève – Encore ce bas
6 commentaires:
Chère Rosie,
Excellente idée de t'accrocher à ces beaux sourires, à ces espoirs, à ces « belles jeunesses », à ces amitiés.
Il y a des fois où il le faut. Bien sûr, on ne se désintéresse pas complètement de l'actualité mais si on perdait notre « spring » en plus, là, c'est sûr, ça n'irait vraiment pas très bien!
Gardons notre « spring », vive la jeunesse et l'amitié!
Rosie,
en voyant ces photos, une phrase d'un livre de Margaret Atwood ( Le tueur aveugle, The blind assassin, version originale ) une autre de mes auteurs préférés ( préférées ), avec Michel Tremblay, Monique Proulx, Nancy Huston, Gabrielle Roy et tant d'autres, m'est venue à l'esprit, et je la cite car elle est trop belle et exprime ma vision : " Vint ensuite le moment pour les élèves de recevoir leurs diplômes. Ils se rassemblèrent sur la scène, graves et radieux, de tailles diverses, tous beaux comme seuls les jeunes peuvent l'être. Même les laids étaient beaux, même les grincheux, même les gros, même les boutonneux l'étaient. Pas un seul d'entre eux ne comprend ça - combien ils sont beaux."
Et c'est tellement vrai ! Rien ne remplace la jeunesse, et les promesses de l'avenir, pour ceux capables de développer leurs talents. Ils ont besoin d'encouragement, de soutien et de gens qui les aiment pour les aider à atteindre leur but. C'est ce que tes photos m'inspirent, même si j'ai utilisé les mots d'une autre pour le dire.
Encore et toujours pétard majuscule la belle Geneviève !
@ Zoreilles : tu as mille fois raison ! Conservons notre spring et notre joie de vivre au moyen de cette belle jeunesse et les liens d'amitié que tous, nous tissons ! :-)
@ Lise : j'adore Atwood ainsi que tous les autres auteurs que tu mentionnes, et cette citation convient merveilleusement bien aux photos de ces jeunes filles ! :-)
Et enfin, @ Mickey : merci, vieille branche ! Geneviève était rose de plaisir quand je lui ai transmis ton commentaire ! :-)
Si j'étais descendue un peu, bien, il n'y aurait pas eu confuson. ;-) Z
(Quoique.. Imogen et Geneviève, quand on échappe les lettres par terre et que l'Accent Grave s'enfuit chez Blogger... Hum Reste le cas du o. J'abandonne.)
Tes commentaires me font tellement rire Zed et je t'en remercie du fond du coeur ! :-))))
Publier un commentaire