Au Canada, oui, peut-être, mais ailleurs ?
Si l’on regarde autour du monde, isn’t it still A MAN’S WORLD et par conséquent, ces droits ne protègent-ils que les hommes ?
Selon Anne Ste-Marie, responsable des communications pour Amnistie Nationale, les embryons sont tués in utero lorsque leur sexe (féminin) est révélé… En d’autres termes, ce sexe leur enlève le droit d’exister.
En Iran, les femmes soupçonnées d’adultère sont condamnées à la lapidation ou si cette peine est commuée, à 100 coups (seulement !...) de fouet. En Afghanistan, de très jeunes femmes sont mariées de force à des hommes âgés qui les battent et elles ne peuvent trouver refuge qu’en prison. Au Nigeria, il existe des lois qui prévoient la peine de mort pour celles qui ont eu recours à un avortement.
Toujours selon Anne Ste-Marie, Kavira Muraulu, une agricultrice d’une cinquantaine d’années, a été violée par un soldat au Nord-Kivu, en République démocratique du Congo. Le lendemain, après qu’elle eut porté plainte, cette brute est revenue avec des amis, et ils l’ont battue. Comme elle était déterminée à ne pas se laisser intimider, elle a de nouveau porté plainte. Cette fois, comme représailles, ils lui ont enfoncé une baïonnette dans le ventre. Le gouverneur du district a tenté de la persuader de se rétracter, mais en vain… Les viols collectifs sont si fréquents et violents dans cette région que les médecins du pays assimilent les déchirures du vagin à un crime de guerre.
Les droits de la femme sont protégés, si elles se taisent et ne font pas d’histoires, parce que ne nous leurrons surtout pas : sur TOUS les continents, en 2008, bon nombre de femmes sont victimes de la barbarie humaine au sein de leur communauté ou pire, de leur famille. Les récentes statistiques sont épouvantables, puisqu’au milieu des années 2000, 54 États avaient encore des lois discriminatoires à l’endroit des femmes et 79 autres ne proposaient aucune législation quant à la violence familiale. Par ailleurs, on ne semble pas tenir compte de la violence verbale qui fait autant, sinon plus de ravages tant au cœur qu’à l’âme. Désolant…
Et on parle toujours de se battre en faveur des droits de la personne… À mon humble avis, les droits de l’Homme sont surprotégés et les droits de la Femme sont à peu près ignorés. Une distinction sémantique ne s’imposerait-elle pas ???
Si l’on regarde autour du monde, isn’t it still A MAN’S WORLD et par conséquent, ces droits ne protègent-ils que les hommes ?
Selon Anne Ste-Marie, responsable des communications pour Amnistie Nationale, les embryons sont tués in utero lorsque leur sexe (féminin) est révélé… En d’autres termes, ce sexe leur enlève le droit d’exister.
En Iran, les femmes soupçonnées d’adultère sont condamnées à la lapidation ou si cette peine est commuée, à 100 coups (seulement !...) de fouet. En Afghanistan, de très jeunes femmes sont mariées de force à des hommes âgés qui les battent et elles ne peuvent trouver refuge qu’en prison. Au Nigeria, il existe des lois qui prévoient la peine de mort pour celles qui ont eu recours à un avortement.
Toujours selon Anne Ste-Marie, Kavira Muraulu, une agricultrice d’une cinquantaine d’années, a été violée par un soldat au Nord-Kivu, en République démocratique du Congo. Le lendemain, après qu’elle eut porté plainte, cette brute est revenue avec des amis, et ils l’ont battue. Comme elle était déterminée à ne pas se laisser intimider, elle a de nouveau porté plainte. Cette fois, comme représailles, ils lui ont enfoncé une baïonnette dans le ventre. Le gouverneur du district a tenté de la persuader de se rétracter, mais en vain… Les viols collectifs sont si fréquents et violents dans cette région que les médecins du pays assimilent les déchirures du vagin à un crime de guerre.
Les droits de la femme sont protégés, si elles se taisent et ne font pas d’histoires, parce que ne nous leurrons surtout pas : sur TOUS les continents, en 2008, bon nombre de femmes sont victimes de la barbarie humaine au sein de leur communauté ou pire, de leur famille. Les récentes statistiques sont épouvantables, puisqu’au milieu des années 2000, 54 États avaient encore des lois discriminatoires à l’endroit des femmes et 79 autres ne proposaient aucune législation quant à la violence familiale. Par ailleurs, on ne semble pas tenir compte de la violence verbale qui fait autant, sinon plus de ravages tant au cœur qu’à l’âme. Désolant…
Et on parle toujours de se battre en faveur des droits de la personne… À mon humble avis, les droits de l’Homme sont surprotégés et les droits de la Femme sont à peu près ignorés. Une distinction sémantique ne s’imposerait-elle pas ???
Enfin, je partage avec vous ces récentes photos de ma puce qui sourit de toutes ses dents, parce qu’elle a été acceptée dans une troupe de danse à claquettes réputée et composée de jeunes… femmes. Je suis soulagée qu’elle soit née ici. Et, si jamais je devenais grand-maman de petites filles, j’espère de tout cœur qu’elles ne verront pas le jour dans un pays où il vaut mieux ne pas naître femme.