jeudi 30 avril 2009
Le chat de la voisine
Vous vous souvenez de cette chanson interprétée si suavement par Yves Montand ? Eh bien, le voici, ce chat !
Tuxie, de son prénom, car il a bien l'air d'avoir enfilé un "tuxedo", vous en conviendrez, m'attendait hier matin sur le poteau de ma clôture. Il s'agit réellement du chat de ma voisine de gauche (ou de droite, c'est selon...) et il me fait penser à cette bonne vieille chanson que ma grand-mère me faisait souvent écouter.
Et puis tiens, pour vous mettre un sourire aux lèvres, je vous offre ce clip à la fois drôle et génial... Et après l'avoir visionné, faites-moi savoir si j'ai complètement perdu le nord ou si Tuxie ne vous fait pas penser à ce chat, vous aussi... :-)
samedi 25 avril 2009
Pour commencer le week-end en grande pompe !
Selon les observations que vous m’avez si gentiment laissées relativement au billet du 5 mars dernier (Pour commencer la semaine en grande pompe), j’y fais suite en ajoutant cette vidéo.
Elle est peut-être un peu moins peuplée que la pub de T-Mobile, mais elle vaut néanmoins la peine d’être partagée.
Allez ! Souriez et chantez de tout cœur avec ce groupe ! Vous en oublierez vos préoccupations pendant ces quelques minutes. Bonne fin de semaine mes chères âmes virtuelles !
Elle est peut-être un peu moins peuplée que la pub de T-Mobile, mais elle vaut néanmoins la peine d’être partagée.
Allez ! Souriez et chantez de tout cœur avec ce groupe ! Vous en oublierez vos préoccupations pendant ces quelques minutes. Bonne fin de semaine mes chères âmes virtuelles !
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Pour le plaisir des sens
jeudi 9 avril 2009
We are the champions, my friends!
Une des nombreuses et inoubliables de Queen que nous chantons quand nous remportons une victoire et ce, que nous soyons francos, anglos ou italianos… Peu importe…
On pourrait aussi chanter «»Elles ont gagné leurs épaulettes, maluron malurette », mais vous avouerez bien avec moi que ça manque un peu d’originalité, que c’est un peu vieillot, que le punch n’y est pas. Euh, mais, je fais de la digression, ma foi ! Ça doit accompagner la ménopause, ce trait de caractère-là, comme les bouffées de chaleur, les sautes d’humeur, l’insomnie… Et me voilà repartie de plus belle !
Faut dire que j’ai la plume sèche et le papier pâle, ces temps-ci. Mais je ne peux que partager ces photos où les jeunes filles de la troupe de danse de Ryerson, université que fréquente ma Cocotte, ont remporté tous les prix possibles et impossibles dans toutes les catégories possibles et impossibles contre les grandes universités d'Ontario (University of Toronto, University of Toronto in Missisauga, Université d'Ottawa, York University, McMaster University, Brock University, Guelph University, Cambridge University, Oshawa University, London University) et j'en passe.
En fait, elles détiennent la première place, comme vous pouvez le constater en regardant les trophées, médailles et certificats. Puisqu'elles ont travaillé d’arrache-pied depuis septembre dernier, et devaient pratiquer à raison de 2 ou 3 soirs par semaine, elles les ont vachement méritées, leurs épaulettes !
Sur la première photo où les gagnantes célèbrent leur victoire, ma fille, mon prolongement, ma raison d’être est la sérieuse à lunettes et sur la seconde, elle se trouve dans la rangée du bas, la première à gauche.
On pourrait aussi chanter «»Elles ont gagné leurs épaulettes, maluron malurette », mais vous avouerez bien avec moi que ça manque un peu d’originalité, que c’est un peu vieillot, que le punch n’y est pas. Euh, mais, je fais de la digression, ma foi ! Ça doit accompagner la ménopause, ce trait de caractère-là, comme les bouffées de chaleur, les sautes d’humeur, l’insomnie… Et me voilà repartie de plus belle !
Faut dire que j’ai la plume sèche et le papier pâle, ces temps-ci. Mais je ne peux que partager ces photos où les jeunes filles de la troupe de danse de Ryerson, université que fréquente ma Cocotte, ont remporté tous les prix possibles et impossibles dans toutes les catégories possibles et impossibles contre les grandes universités d'Ontario (University of Toronto, University of Toronto in Missisauga, Université d'Ottawa, York University, McMaster University, Brock University, Guelph University, Cambridge University, Oshawa University, London University) et j'en passe.
En fait, elles détiennent la première place, comme vous pouvez le constater en regardant les trophées, médailles et certificats. Puisqu'elles ont travaillé d’arrache-pied depuis septembre dernier, et devaient pratiquer à raison de 2 ou 3 soirs par semaine, elles les ont vachement méritées, leurs épaulettes !
Sur la première photo où les gagnantes célèbrent leur victoire, ma fille, mon prolongement, ma raison d’être est la sérieuse à lunettes et sur la seconde, elle se trouve dans la rangée du bas, la première à gauche.
J’adresse mes plus chaleureuses félicitations à ces merveilleuses danseuses, à cette belle jeunesse rayonnante de bonheur et surtout, à ma fifille adorée, bien que je n’aie aucune, mais alors là, aucune opinion préconçue sur sa beauté tant intérieure qu’extérieure.
jeudi 2 avril 2009
Il Silenzio
Il faut voir et écouter…
Incroyable… Les mots me manquent et comme dirait mon entourage, ce n’est pas quelque chose qui m’arrive souvent. En fait, je suis un vrai moulin à paroles et je n’ai jamais assez d’encre dans ma plume.
Mais, il faut voir et écouter… Écouter ce silence. Voir et écouter un ange sur terre qui nous offre une mélodie céleste.
Il s’agit de Melissa Venema, une jeune hollandaise âgée de 13 ans, un prodige, une découverte d’André Rieu.
Il faut voir les spectateurs et la gamme d’émotions qui apparaît dans leur regard, le miroir de leurs âmes. Il faut admirer tout le respect que cette jeune artiste nous inspire au moyen de cette interprétation magistrale.
Je ne pouvais que partager ce chef-d’œuvre avec vous. Voyons et écoutons ensemble…
Incroyable… Les mots me manquent et comme dirait mon entourage, ce n’est pas quelque chose qui m’arrive souvent. En fait, je suis un vrai moulin à paroles et je n’ai jamais assez d’encre dans ma plume.
Mais, il faut voir et écouter… Écouter ce silence. Voir et écouter un ange sur terre qui nous offre une mélodie céleste.
Il s’agit de Melissa Venema, une jeune hollandaise âgée de 13 ans, un prodige, une découverte d’André Rieu.
Il faut voir les spectateurs et la gamme d’émotions qui apparaît dans leur regard, le miroir de leurs âmes. Il faut admirer tout le respect que cette jeune artiste nous inspire au moyen de cette interprétation magistrale.
Je ne pouvais que partager ce chef-d’œuvre avec vous. Voyons et écoutons ensemble…
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