lundi 24 novembre 2008

Le 21 novembre 2008, au petit matin...





Je t'offre ce ciel du 21 novembre, Aaron. Un lever du jour vu sous trois angles, un ciel à la fois triste et lumineux, comme toi...

On ne peut pas oublier tant de talent, tant de beauté intérieure, tant de génie, tant de créativité... On ne peut pas oublier ton sourire, ta chaleur, ta grande générosité, ta douce compassion...

Ta voix s'est peut-être éteinte il y a un an, quand tu as mis fin à tes jours, mais nous entendrons toujours ta musique.

Je reprends une phrase que j'ai entendue (ou lue, je ne sais plus), il y a si longtemps... Une phrase qui ne voulait rien dire quand je préparais mon bac, mais qui, aujourd'hui, me prend à la gorge... Une phrase que tous ceux et celles qui ont eu le bonheur de te connaître, et surtout ta famille immédiate, voudraient sûrement te dédier :

J'étais si près de toi que j'ai froid près des autres.

Repose en paix, petit ange aux grands tourments...

(Pour en savoir davantage, prière de lire mon billet du jeudi 6 décembre 2007.)

7 commentaires:

Anonyme a dit...

Chère Rosie,

déjà un an, mais pour les proches et amis Aaron ne sera jamais oublié. J'ai relu ton billet de l'année dernière, tellement triste et désolant. Tant de talent, de possibilités, si aimé de tout son entourage, et pourtant...

La phrase que tu cites résume trop bien le vide laissé derrière par l'inexplicable. Et avec ta sensibilité, si évidente dans tout ce que tu écris, tu la ressens de toute ton âme!

Novembre n'est pas toujours magnifique, même si tes photos, elles, le sont.


Lise xxx

Anonyme a dit...

Chère Petite Rose,

Je tai lue, ici, et je n'ai pu trouver de mots. Alors je pense à toi et ta peine. Je n'ai pas envie de mettre de mots là-dessus. Pas maintenant.

Bises, Zed

Anonyme a dit...

Cette phrase est magnifique et je la comprends parfaitement. Trop.

Il y a des jours où je mettrais toute la partie de mon coeur qui s'adresse aux humains à la poubelle.

Encore moi.

xxx Zed

Zoreilles a dit...

Qu'ajouter de plus, tu as dit l'essentiel, nos amies aussi, je voulais simplement te signifier que je t'avais lue, Rosie.

L'inexplicable... La souffrance des proches... Toute l'empathie du monde n'y pourrait rien...

Bisous, câlins, c'est tout ce que je peux t'offrir.

Anonyme a dit...

Ma chère Rosie-Rosette,

Ce n'est pas le billet idéal pour te souhaiter tout le bonheur e-que je te souhaite pour ce Temps des Fêtes, certainement avec ta famill et certainement aussi orné de petites danses ici et là.

Je t'embrasse bien fort! Tu peux encore venir jouer chez moi tant que tu veux. J'ai la plus gentille gardienne de blogue que tu puisses imaginer!

Zed xox

Anonyme a dit...

Bonjour belle Rosie,

juste un petit mot pour dire que je pense à toi. Je m'ennuie, I miss you ! Prends soin de toi !

Lise xxx

Rosette ou Rosie, c'est pareil a dit...

Merci du fond du coeur pour toute votre empathie, mes douces !