vendredi 20 mars 2009
Tara et Bella
Voilà pourquoi certains clips nous portent à réfléchir et dans mon cas, me fait tellement apprécier les animaux. Si vous me connaissez, me lisez ou regardez les photos que j’ai publiées sur ce petit blogue de rien du tout, vous savez sans aucun doute que je suis absolument fana du règne animal et de tout ce qu’il comporte.
Je suis désolée de vous présenter cette vidéo en anglais, mais je n’ai pas réussi à trouver sa version francophone. De toute façon, la langue n’est pas très importante ici, puisque les animaux ont compris depuis très longtemps qu’ils pouvaient communiquer autrement.
Écoutez bien le clip jusqu’à la toute fin. Les dernières lignes que lit le narrateur en valent vraiment la peine.
samedi 14 mars 2009
Un message d’espoir
Il ne fait pas beau? Je me plains… Il y a du trafic? Je me plains… Je dois faire le pied de grue au magasin ou à la banque? Je me plains… Je manque de fric? Je me plains… J’ai mal au bloc? Je me plains… En fait, je me plains tellement que je finis par me prendre en pitié…
Mais après avoir vu ce clip, je ne suis pas très fière de moi. Ce type est tout à fait miraculeux et le message qu’il véhicule devrait servir d’inspiration à nous tous.
À la fois touchante et émouvante, cette vidéo m’a clairement démontré qu’au lieu de me plaindre, je devrais être remplie de gratitude et que je me dois d’exprimer ma reconnaissance à la vie et à tous ceux et celles qui m’entourent.
Sortez vos mouchoirs et bon visionnement.
jeudi 12 mars 2009
Tom Waits et le grand débat
Bien que cette histoire se soit déroulée il y a déjà quelques années, elle vient de me revenir en mémoire. Et vlan, tiens-toé !
Enfin, nous sommes au resto, toutes les six, et parlons musique, après avoir épuisé les autres sujets qui nous tiennent tant à coeur : nos époux, nos conjoints, nos chums, nos époux, nos conjoints et nos chums one more time! Nous avions déjà établi que la politique et la religion ne feraient pas partie de nos bavardages, compte tenu de la diversité de nos antécédents...
Bon, alors, la musique, c'est un sujet qui n'entraîne habituellement pas de polémiques, pas vrai ?
Je demande si on aime Tom Waits... Silence total autour de la table.
- Tom Waits? me demande l'une des six. Who the f.... is that?
- Oh I know, he's the idiot with the bourbon-smoked coated voice who thinks he can sing, ajoute une autre des six convives.
-Waits? Waits for what exactly? commente la troisième des six. La petite comique du clan, quoi! Waits for a voice? Waits for talent? Waits for lyrics?
- Your tastes are sooooo unusual and much tooooo eclectic, ajoute la quatrième. You should refine them, you know. Furthermore, you should go back and live where you belong.
Comme elles étaient mes invitées, la cinquième, soit la plus fûtée, a eu la décence de se taire, même si elle roulait des yeux et me regardait de haut.
Je vous épargne mes réponses et ma colère froide. Car froides elles le sont, mes colères ! Cependant, je vous assure que cette histoire s'est déroulée quand je vivais au Texas. Et que Tom Waits est bel et bien un américain ! Inutile d'ajouter que je n'ai jamais revu ces dames...
Voici donc un clip de Waits et je vous préviens : on aime ou on n'aime pas !!! Il n'y a pas de juste milieu avec lui.
Faites-moi savoir ce que vous en pensez. J'aimerais bien savoir si je suis folle à lier (ce qui ne serait pas surprenant...) ou s'il y a quelqu'un d'autre dans notre blogosphère qui aime aussi Tom Waits. À mon humble avis, il s'agit d'un des plus grands bluesman, jazzman et vaudevilleman de tous les temps !
dimanche 8 mars 2009
Quand les images valent plus que les mots
Demeurant désormais en Italie (la chanceuse !), mon amie Mary-Lou qui m'a retrouvée après quarante longues années (eh oui, bordel, on vieillit tous !), grâce à Face Book que je nomme également Big Brother Vous Regarde, a partagé ce clip avec moi.
Toujours d'actualité, cette chanson m'a toujours personnellement touchée jusqu'au fond de l'âme, mais le montage des photos qui l'accompagne est des plus poignants.
Le grand trou noir, les amours impossibles, les mouchoirs imbibés de larmes... Qui n'a pas vécu ces étapes douloureuses ?
Oui, je sais que c'est rare, mais en cette soirée morose et pluvieuse, ma plume puise son encre dans le coeur de ses amours déchirées...
Et encore une fois, je fais la lessive de mes sentiments et m'excuse de vous infliger mes si tristes pensées, mais ça arrive à tout le monde, non ?
jeudi 5 mars 2009
Comment commencer la semaine en grande pompe !
Cet pub de T-Mobile a été filmée à la station de Liverpool, à Londres, le 15 janvier dernier, et seuls les danseurs étaient au courant de la situation...
Apparemment, ce clip retrouvé sur You Tube aurait reçu plus de 2 millions de visiteurs en moins d'un mois. Voilà ce qu'une bonne annonce peut rapporter, puisqu'elle fait invariablement sourire! Et le slogan à la toute fin de l'annonce veut tout dire, pas vrai ? La vie, c'est vraiment quelque chose à partager !
Prenez les 60 secondes qu'il faut pour vous détendre et bien vous sentir ! :-)
dimanche 1 mars 2009
Lucratif, le petit coin ?
D’abord, il est VRAIMENT petit, le petit coin d’un avion ! En fait, il est si petit que je tente de me «retenir» quand je voyage (je fais un peu de claustrophobie, voyez-vous…) et selon la destination vers laquelle je m’envole, je vous jure qu’il me faudrait parfois un bouchon. Mais j’y pense : je devrais probablement apporter mes propres bouchons, parce qu’on ne sait jamais, hein ? On pourrait peut-être exiger un certain montant par bouchon ! Et quoi d’autre ? Va-t-on nous demander de payer pour le papier de toilette, les mouchoirs, les petites savonnettes ou encore, à chaque fois que nous activerons la chasse d’eau ? Imaginez s’il était grand, le petit coin d’un avion… Nous demanderait-on alors l’équivalent de 5 $ ou de 10 $ ?
Si nous suivons cette «logique», les enseignant(e)s devraient facturer chacun de leurs élèves aux parents, non ? Celles et ceux qui enseignent la danse pourraient facturer tous les pas qui forment le si sensuel tango et, de plus, feraient fortune quand viendrait le temps d’enseigner la valse viennoise ! Et nous donc, chers blogueurs et chères blogueuses, nous pourrions tenter d'exiger des gros sous de Monsieur Cyberespace ! Oh, et n'oublions pas les traducteurs et les traductrices qui inclueraient le nombre d'espaces entre les mots ainsi que tous les accents possibles dans leurs grilles de tarifs ! Enfin, vous voyez bien où je veux en venir...
Et on se demande pourquoi la crise économique globale que nous traversons semble vouloir s’éterniser. Hé, misère…
Entéka, bon dimanche quand même ! :-)