Je t'offre ce ciel du 21 novembre, Aaron. Un lever du jour vu sous trois angles, un ciel à la fois triste et lumineux, comme toi...
On ne peut pas oublier tant de talent, tant de beauté intérieure, tant de génie, tant de créativité... On ne peut pas oublier ton sourire, ta chaleur, ta grande générosité, ta douce compassion...
Ta voix s'est peut-être éteinte il y a un an, quand tu as mis fin à tes jours, mais nous entendrons toujours ta musique.
Je reprends une phrase que j'ai entendue (ou lue, je ne sais plus), il y a si longtemps... Une phrase qui ne voulait rien dire quand je préparais mon bac, mais qui, aujourd'hui, me prend à la gorge... Une phrase que tous ceux et celles qui ont eu le bonheur de te connaître, et surtout ta famille immédiate, voudraient sûrement te dédier :
J'étais si près de toi que j'ai froid près des autres.
Repose en paix, petit ange aux grands tourments...
(Pour en savoir davantage, prière de lire mon billet du jeudi 6 décembre 2007.)