Circa 1940
Let Me Go
We’ve known lots of pleasures
At times endured pain
We’ve lived in the sunshine
And walked in the rain.
But now we’re separated
And for a time apart
But I am not alone
You’re forever in my heart.
Death seems always so sudden
And it is always sure
But what is often forgotten
It is not without a cure.
I’m walking now with someone
And I know He’ll always stay
I know He’s walking with you too
Giving comfort every day.
There may be times you miss me
I sort of hope you do
But smile when you think of me
For I’ll be waiting for you.
Now there are many things for you to do
And lots of ways to grow
So get busy, be happy and live your life
Miss me, but let me go.
Faire son deuil…
Je ne sais pas ce que ça veut dire. Pas encore. Jamais, peut-être ?
Par contre, je sais bien qu’il ne s’agit pas de renier les morts, ni de ne plus les regretter, mais de se souvenir d'eux autrement, de porter en soi une douleur pacifiée. Faire la paix avec la mort…
Si tu es là en moi, maman, si c’est bien toi que je reconnais et ressens à certaines heures au plus profond de moi, si tu m’as aimée au moment de lâcher prise, fais-toi légère à moi, je t’en prie, ne m’alourdis pas, mais plutôt rends-moi aussi forte et aussi courageuse que tu l’as été pendant ton séjour sur cette Terre.
Je sais que j’ai déjà publié cette photo sur mon blogue, mais comme elle représente maman dans toute sa jeunesse et sa tendre beauté, je l’affiche de nouveau.
Je ne suis pas une grande croyante et surtout, vraiment pas pratiquante. Quand je veux communiquer avec des puissances supérieures, je leur parle à travers les merveilles de la nature qui m’entourent, tout comme le faisaient mes parents.
Cependant, le service de maman a été dirigé par le Révérend George Anthony et ce « guide » m’a réellement aidée à vivre des moments tant pénibles que difficiles. Bien que le poème qu’il a lu et m’a ensuite remis circule fort probablement sur le Web, je tenais à le publier sur ce billet.
Cependant, le service de maman a été dirigé par le Révérend George Anthony et ce « guide » m’a réellement aidée à vivre des moments tant pénibles que difficiles. Bien que le poème qu’il a lu et m’a ensuite remis circule fort probablement sur le Web, je tenais à le publier sur ce billet.
Let Me Go
We’ve known lots of pleasures
At times endured pain
We’ve lived in the sunshine
And walked in the rain.
But now we’re separated
And for a time apart
But I am not alone
You’re forever in my heart.
Death seems always so sudden
And it is always sure
But what is often forgotten
It is not without a cure.
I’m walking now with someone
And I know He’ll always stay
I know He’s walking with you too
Giving comfort every day.
There may be times you miss me
I sort of hope you do
But smile when you think of me
For I’ll be waiting for you.
Now there are many things for you to do
And lots of ways to grow
So get busy, be happy and live your life
Miss me, but let me go.
Faire son deuil…
Je ne sais pas ce que ça veut dire. Pas encore. Jamais, peut-être ?
Par contre, je sais bien qu’il ne s’agit pas de renier les morts, ni de ne plus les regretter, mais de se souvenir d'eux autrement, de porter en soi une douleur pacifiée. Faire la paix avec la mort…
Si tu es là en moi, maman, si c’est bien toi que je reconnais et ressens à certaines heures au plus profond de moi, si tu m’as aimée au moment de lâcher prise, fais-toi légère à moi, je t’en prie, ne m’alourdis pas, mais plutôt rends-moi aussi forte et aussi courageuse que tu l’as été pendant ton séjour sur cette Terre.
Je sais que tu ne pouvais plus m'attendre et que tu es partie quelques heures avant mon arrivée, mais je crois fermement que tu ne voulais absolument pas que je te voie à l'agonie.
Un jour, je la raconterai ton histoire… Notre histoire. Et je sais que lorsque le moment propice sera venu, tu me souffleras les mots qui me manquent pour l’écrire.
Je t’aime, maman.
Un jour, je la raconterai ton histoire… Notre histoire. Et je sais que lorsque le moment propice sera venu, tu me souffleras les mots qui me manquent pour l’écrire.
Je t’aime, maman.