

Une des nombreuses et inoubliables de Queen que nous chantons quand nous remportons une victoire et ce, que nous soyons francos, anglos ou italianos… Peu importe…
On pourrait aussi chanter «»Elles ont gagné leurs épaulettes, maluron malurette », mais vous avouerez bien avec moi que ça manque un peu d’originalité, que c’est un peu vieillot, que le punch n’y est pas. Euh, mais, je fais de la digression, ma foi ! Ça doit accompagner la ménopause, ce trait de caractère-là, comme les bouffées de chaleur, les sautes d’humeur, l’insomnie… Et me voilà repartie de plus belle !
Faut dire que j’ai la plume sèche et le papier pâle, ces temps-ci. Mais je ne peux que partager ces photos où les jeunes filles de la troupe de danse de Ryerson, université que fréquente ma Cocotte, ont remporté tous les prix possibles et impossibles dans toutes les catégories possibles et impossibles contre les grandes universités d'Ontario (University of Toronto, University of Toronto in Missisauga, Université d'Ottawa, York University, McMaster University, Brock University, Guelph University, Cambridge University, Oshawa University, London University) et j'en passe.
En fait, elles détiennent la première place, comme vous pouvez le constater en regardant les trophées, médailles et certificats. Puisqu'elles ont travaillé d’arrache-pied depuis septembre dernier, et devaient pratiquer à raison de 2 ou 3 soirs par semaine, elles les ont vachement méritées, leurs épaulettes !
Sur la première photo où les gagnantes célèbrent leur victoire, ma fille, mon prolongement, ma raison d’être est la sérieuse à lunettes et sur la seconde, elle se trouve dans la rangée du bas, la première à gauche.
J’adresse mes plus chaleureuses félicitations à ces merveilleuses danseuses, à cette belle jeunesse rayonnante de bonheur et surtout, à ma fifille adorée, bien que je n’aie aucune, mais alors là, aucune opinion préconçue sur sa beauté tant intérieure qu’extérieure.